Une autrice que j’avais envie de découvrir avec ce roman dont le sujet m’a interpellé.
Éditions Pocket- 295 pages
Résumé :
A la Libération, Aurore, jeune Niçoise, abandonne sa terre natale et sa famille pour rejoindre Martin, un GI rencontré en France. Mais à son arrivée outre-Atlantique, elle découvre que son fiancé ne l’a pas attendue. Elle décide de rester vivre aux États-Unis. De Cleveland à New York en passant par Montréal, elle construit sa nouvelle vie et participe ainsi à l’émancipation féminine.
Mon avis : La possibilité du jour
Après être tombée sous le charme de cette couverture, le résumé m’a totalement convaincu. J’y voyais un récit sur le destin des war brides, sujet sur j’avais adoré découvrir dans Les amants de l’été 44 de Karine Lebert. Malheureusement ce n’est pas vraiment de ça dont il était question ici.
Ce roman va nous parler de survie, de lutte, de féminisme ou encore de racisme. C’est un roman qui aborde ces sujets en y mêlant l’évolution de la société américaine. Malgré les embûches qui se mettront sur sa route, Aurore mène une lutte quotidienne pour survivre libre. Une lutte contre les coutumes de la société de l’époque. Elle veut pouvoir décider de sa vie librement sans avoir de compte à rendre.
Cette histoire est une vraie photographie de l’évolution de la société américaine à travers les époques.
Malheureusement malgré tous ces sujets intéressants, je n’ai pas réussi à rentrer dans l’histoire ni à m’attacher aux personnages. J’ai trouvé qu’il y avait des longueurs et beaucoup de descriptions, m’empêchant de plonger réellement aux côtés d’Aurore qui m’a semblé très froide tout au long de ma lecture.
J’aurai voulu plus apprécier ma lecture mais ce sont des choses qui arrivent. Comme on dit la lecture est une rencontre et comme toute rencontre ça ne peut pas marcher à tous les coups.
Je remercie les éditions Pocket pour cet envoi même si cela n’a pas fonctionné entre nous.
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